La vie, sans eux, c'est pas une vie •

Salvatore vient d'une famille pas très riche, mais il a eu une belle et heureuse enfance et adolescence. Une soeur jumelle, des parents formidables, et une fille. Cette fille si belle, si riche, si populaire. Celle qui ne remarquera jamais un Gibaldi. Et depuis ses quinze ans il en tomba amoureux. D'un naturel timide, il n'a jamais osé aller lui parler, à cette fille du nom de Persephone. Elle était dans ses pensées le jour, dans ses rêve la nuit, et un jour Persée remarqua le jeune homme n'arrivant pas à ouvrir son casier, tout deux au lycée.

p e r s é e - « Tu as besoin d'ide peut-être ? Je connais, ces casiers sont d'un chiant ! »
s a l v a t o r e - « Euh ... Je veux bien, si ca ne te derange pas ...»

La belle brune sourit et ouvrit son casier avec un peu de mal. Il la remercia, lui sourit bêtement et Da Vitto lui proposa alors de boire un verre un de ces jours tout les deux. A croire que le rêve du jeune homme devenait réalité, bien entendu il accepta. Le rendez-vous se passa plus que bien, ils apprirent à se connaitre et se revurent de plus en plus souvent. Persephone demenagea alors de Florence pour Rome, en téléphonant à Salvatore une fois par semaine. Puis plus du tout, quand Persée rencontra Antonio.

Ce dernier commença à la battre, la jeune femme forte, porta plainte et il alla en prison. C'est alors qu'elle decida son retour dans sa ville natale ; Florence. La première personne qu'elle appela fut Salavatore, qui en attendant avait refait sa vie, mais sans jamais oublier la jeune femme.

Un jour, Gibaldi invita Persée à venir chez lui, pour parler. Du fait qu'elle soit parti sans le lui dire, que du jour au lendemain elle ne l'appellait plus du tout. Persephone accepta l'invitation et arriva chez lui dans la soirée.

p e r s é e - « Je ne pouvais pas t'appeller. »
s a l v a t o r e - « Ah bon, et pourquoi ? Parce que que tu es trop bien pour moi, que tu as honte d'un pauvre Gibaldi alors que toit t'es la fille des Da Vitto ?! »
p e r s é e - « C'est degueulasse ! Putain Salvatore ! A Rome je me suis fais battre par mon petit ami, j'étais souvent à l'hopital ! JE POUVAIS PAS T'APPELLER, le pire c'est je pensais sue je pouvais compter sur toit, que toi t'était pas un salaud ... »